STOSKOPFF sébastiaen
Né dans une famille prostestante Strasbourgeoise ( fils d'un mercenaire à cheval ) , Sébastien Stoskopff est envoyé en 1615 en aprentissage à Hanau ( Flandres) ,chez le peintre de nature mortes daniel Soreau .
Après avoir cherché vainement à s'installer à Franckfort , il se rendità Parit , ville qui exerçait alors un attrait particulier auprès des artistes allemands . Son séjour parisien est entrecoupé d'un voyage en Italie qui l'amène à Venise en 1629 .
Si la première partie de son séjour parisien est peu documentée , la seconde est en revanche mieux connue . Il habite alors dans le Marais , près de la rue Vieille-du-Temple , et connaît une notoriété certaine comme le suggère la présence de ses oeuvres dans les plus grandes collections de l'époque .
Dès son arrivée à Paris , sébastien Stoskopff oriente son art dans de nombreuses directions et aborde des thèmes aussi variés que les natures mortesde livres - la sompueuse nature morte aux livres et à la chandelle peinte en 1625 ( voir la première à gauche ci-dessous ) est uune des premières du genre ,
Les représentations des cinq sens ,
Rprésentation des quatres éléments :
de nombreuses Vanités :
non , je ne croit pas à l'existence d'un peintre nommer damien L'homme , les historiens de l' art ne tiennent pas en compte le temps et la difficulté d'une formation égal à celle de Stoskopff et attributs la mème capacité de travail à un éditeur de calendriers , ridicule , mais pas étonnant de la part de personnes ne maitrisants pas les techniques de la peinture à l'huile du XVII°msiècle .
Vous remarquerez aussi les deux trous simillaires sur les deux crânes , l'un aux musée de St Etienne ( attribué à damien L' Homme ) et l'autre à la Staatliche Galerie Morizburg , Halle , une oeuvre de Stoskopff certifiée , qui pourrait croire que deux peintres ( dont l'un ne serait en faît qu'un fabriquant de calendriers ) se seraient prêter un crâne , et bien , je n'y croît pas !
STOSKOPFF crée aussi des
Le Butor est un oiseaux des marais , et donc dans la logique de nos ancètres ils serait apparenté aux poissons et se consommerai les jours maîgres , chouette de la viande les jours de maîgres , vive la science d'autrefois !
" tables mises " :
on apprend que nos ancètres mangeaient du pic-vert .
un singe( un cercopithèque , Mangabey à colier blanc ? ) en cuisine déja au XVII°m siècle
et des cuisines très originales qui s'inscrivent parfaitement dans l'évolution de la production parisienne de jacques Linard , lubin Baugin et louise Moillon avec lesquels il entretient d'étroites relations . Stoskopff nous transporte dans les cuisines , les réserves , niches et autres dépots de vivres et ustensiles culinaires , la vie silencieuse derrière le rideau ; toute une vision humble de la vie des grand de ce monde , Stoskopff ne cherche pas à flatter , il flatte l'objet et nous invite à le voir de plus près .
magnifique celle-la , comment ne pas penser à lubin Baugin !
En 1641 , Sébastien Stoskopff est à nouveau à Strasbourg qui , relativement peu touchée par les troubles de la guerre de Trente ans , est alors un centre artistique et intellectuel vivant et il trouve rapidement sa place .
Ses oeuvres sont marquées à la fois par la continuité et par l'inovation : les scènes de cuisines , les déjeuners sont toujours présents , de même que les vanités dont il donne avec la Grande Vanité du musée de Strasbourg :
une interprétation magistrale .
Mais des sujets nouveaux apparaissent :
Les orfèvreries et les corbeilles de verres :
Et de saisissant trompe-leil :
Il a comme clients des princes allemands réfugiés dans la capitale Alsacienne ; c'est auprès de l'un d'eux , le comte johannes de Nassau-Iddstein qu'il meurt , sans doute assassiné dans des condition obscures .